PARIS | 15 April to 24 July 2022
Palais de Tokyo
“In silence there is a meaning, often, if not always. So there are other worlds besides the world reached by words.”
— Etel Adnan
«Dans le silence, il y a un sens, souvent, sinon toujours. Donc il y a d’autres mondes à part le monde atteint par les mots.»
– Etel Adnan
A Roof for Silence - Palais de Tokyo
15 April to 24 July 2022
Following its presentation at the 17th Venice Biennale of Architecture in 2021, A Roof for Silence will be reassembled at the Palais de Tokyo. The installation is a variation on the original presentation in the Magazzini del Sale in Venice. Here, it has been reimagined from its main components, and reinterpreted so as to enter into dialogue with the specific architecture of its new environment.
Set beneath the rotunda, its central architectural piece is a sanctuary of glass and light which houses the paintings of Etel Adnan, at once displaying and protecting them: sixteen paintings that form a cycle, like a luminous vivid verse of a poem that’s also made up of the blanks and spaces between the words-colors-shapes that irradiate them. This piece is set against a triptych projection of a film of the olive trees in Lebanon shot in the darkness of the night by Alain Fleischer, which is in turn accompanied by an original composition by the artists Soundwalk Collective.
A Roof for Silence - Palais de Tokyo,
15 avril au 24 juillet 2022
Après sa présentation à la 17ème Biennale d’architecture de Venise en 2021, A Roof for Silence s’enracine au Palais de Tokyo. L’installation est une variation de celle présentée dans les Magazzini del Sale de Venise. Elle est repensée à partir de ses composants principaux, réinterprétés pour dialoguer avec l’architecture spécifique du lieu dans lequel elle s’inscrit.
Ancrée sous la rotonde, la pièce architecturale centrale, sanctuaire de verre et de lumière abrite en son cœur l’œuvre picturale d’Etel Adnan, qu’elle révèle et protège à la fois : seize peintures formant un cycle, comme une strophe lumineuse et colorée d’un poème, fait des blancs et des vides entre les mots, les couleurs et les formes qui les irradient. Cette pièce est mise en regard avec une projection en triptyque des oliviers du Liban, filmés dans la pénombre de la nuit par Alain Fleischer et accompagnée par une composition originale des artistes Soundwalk Collective.